80 nouvelles places en CPE à Boucherville

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Par Diane Lapointe
80 nouvelles places en CPE à Boucherville
Plusieurs personnes étaient présentes pour la pelletée de terre de la deuxième installation du CPE de Boucherville, notamment la ministre Nathalie Roy, le conseiller municipal Raouf Absi, la directrice du CPE, Brigitte Demers, la présidente du CA du CPE, Marianne Caouette et le chargé de projet, Renaud Dubé.

Le Centre de la petite enfance (CPE) de Boucherville ouvrira bientôt une deuxième installation dans un bâtiment tout neuf situé au 530, chemin du Lac. L’établissement permettra d’accueillir 80 bambins dès le mois d’avril 2020.
Bien que le solage soit déjà coulé, la pelletée de terre officielle symbolisant le début des travaux de construction a eu lieu le 27 septembre dernier. Ce projet de plus de 2 M$ verra ainsi et enfin le jour. Sept années se sont en effet écoulées entre l’octroi des 80 places subventionnées par le ministère de la Famille, en 2012, et le début des travaux.
« Cette deuxième installation est l’aboutissement d’un rêve qui viendra répondre au besoin de garde des parents de Boucherville», a mentionné Brigitte Demers, directrice générale du CPE de Boucherville.
Il y aura 20 places pour les poupons, 40 pour les bambins de 18 à 47 mois, et 20 pour les enfants âgés de 4 à 5 ans. De plus, trois places seront réservées pour les enfants qui présentent des besoins particuliers, trois pour ceux issus de l’immigration et trois autres pour les jeunes vivant en milieux défavorisés.
Projet de 2 M$
Pour concrétiser ce projet, le ministère de la Famille a octroyé une aide financière de 1 822 591$. Le CPE de Boucherville a pour sa part investi 267 764 $, et la Ville de Boucherville a cédé le terrain d’une valeur de 362 400$ par bail emphytéotique de 40 ans.
Si cette annonce a été accueillie avec joie, il n’en reste pas moins que les besoins en garderie sont encore grands. Environ 1000 enfants de Boucherville sont présentement inscrits sur le guichet unique Place 0-5 ans, pour une place en CPE ou en garderie subventionnée. Plusieurs parents n’ont ainsi d’autres choix que de se tourner vers le privé.

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