(Communiqué de la Ville de Boucherville)
La Ville de Boucherville annonce le début de la saison des cultures au jardin intermunicipal Boucherville-Varennes.
De nombreuses activités agricoles sont prévues entre les mois d’avril et d’octobre : activités de plantation, entretien des plants, récoltes, etc. La Ville invite les résidants à y participer en grand nombre. Au menu des plantations, on retrouve en particulier cette année : plantation d’ail, de maïs, d’artichauts et de pommes de terre.
La Ville de Boucherville a mandaté l’organisme La Croisée de Longueuil pour assurer la coordination des activités au jardin.
Pour obtenir plus d’information ou pour s’inscrire aux activités, nous vous invitons à communiquer avec Denis Rousseau au 450 677-8918.
Le jardin intermunicipal est situé près du parc de la Frayère, au nord de Boucherville.
Un second jardin collectif à Boucherville
Un deuxième jardin collectif est également situé à Boucherville. Ce jardin se trouve sur le boulevard De Montarville, à l’angle du boulevard du Fort-Saint-Louis.
Les activités ayant lieu à cet endroit sont coordonnées par l’organisme Collectif 21. Cette année, ces activités sont soutenues financièrement par la Ville de Boucherville. Pour obtenir plus d’information, visitez le site Web du jardin à l’adresse : jardin.collectif21.com, ou communiquez par courriel avec Mme Anne-Marie Brunet au info@collectif21.com.
Différences entre jardins communautaires et jardins collectifs
Alors que les usagers d’un jardin communautaire se voient chacun attribuer une parcelle de la terre à cultiver, les jardiniers d’un jardin collectif cultivent tous ensemble la terre dédiée à cette fin.
De plus, dans un jardin communautaire, les récoltes reviennent directement aux jardiniers qui les produisent. Dans un jardin collectif, elles sont plutôt redistribuées entre les jardiniers en fonction de leur niveau d’implication, et une partie des récoltes est acheminée à des organismes de bienfaisance.
Bénéfices associés aux jardins collectifs
Les jardins collectifs donnent place à la création de réseaux sociaux et ils sont le lieu d’un large partage de connaissances sur l’agriculture urbaine. Ils contribuent aussi à la sécurité alimentaire, au développement économique, à la mise en place de pratiques agro-environnementales et à la mise en valeur du territoire.
