Projet de loi 61 : des projets d’infrastructures importants pour la région

Chambre de commerce et d’industrie de la Rive-Sud
Projet de loi 61 : des projets d’infrastructures importants pour la région
Le président de la CCIRS, Richard D’Amour,. (Photo : CCIRS)

La Chambre de commerce et d’industrie de la Rive-Sud (CCIRS) applaudit la volonté du gouvernement d’accélérer la réalisation des projets au Québec via le projet de loi 61 qui a été déposé dans une perspective de relance économique après la crise de la COVID-19.

« C’est avec beaucoup de fierté que nous constatons que plusieurs projets se réaliseront sur notre territoire et tout près de nous en Montérégie. Nos nombreuses actions ont porté fruit notamment en ce qui concerne le projet d’amélioration de l’autoroute 30 entre Brossard et Boucherville et le projet de transport collectif électrique dans les axes du boulevard Taschereau et du prolongement de la ligne jaune du réseau de métro. Il s’agit de deux projets incontournables pour les entreprises de notre région. »

La CCIRS salue également les autres projets tels l’aménagement d’une voie réservée pour autobus et covoiturage sur l’autoroute 20 entre la rue principale et la limite de Belœil, l’aménagement d’une voie réservée sur l’autoroute 10 entre les autoroutes 35 et 30, le réaménagement de bretelles sur les autoroutes 10 et 35 et le projet de transport collectif électrique pour relier le Réseau express métropolitain sur la Rive-Sud pour desservir le secteur de Chambly/Saint-Jean-sur-Richelieu.

Les entreprises de la région pourront contribuer à cet effort collectif qui permettra de créer de la richesse. Il s’agit d’une belle opportunité pour notre belle région qui facilitera la reprise des activités économiques.

Le président de la CCIRS cite « Je suis fier que nos différentes représentations effectuées au cours des dernières années auprès du gouvernement portent fruit sur des projets qui étaient d’une grande priorité pour nous. Ce projet de loi qui vise la relance de l’économie du Québec et l’atténuation des conséquences de l’état d’urgence sanitaire déclaré le 13 mars dernier en raison de la pandémie arrive juste à point. Nous sommes convaincus que l’allégement réglementaire respectera en tout point la rigueur des processus de contrats publics. »

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