Dans ces capsules vidéo, nous partageons des moments authentiques et sans prétention avec des aînés. Des discussions sur des sujets d’actualité, des réflexions philosophiques et des anecdotes personnelles.
Notre objectif?
Mettre en lumière l’expérience et la sagesse des personnes âgées et déconstruire les préjugés liés à l’âge et au vieillissement. Prenez une tasse de thé et rejoignez-nous!
L’amour avec un grand A
En arrivant à la salle de danse, Claire Oligny Hebel était loin de se douter qu’elle repartirait avec le numéro de téléphone de l’homme de sa vie. Celle qui dit avoir eu le coup de foudre, nous donne les ingrédients de la recette de l’amour avec un grand A.
De la première à la dernière maison
Jean-Louis Parent a acheté son premier duplex à l’âge de 22 ans. Ayant déménagé sept fois, l’homme qui a récemment vendu son bungalow pour faire le saut en résidence raconte être encore en mode adaptation.
Vivre en résidence
Les résidences pour personnes âgées ne sont pas des mouroirs, atteste Chantal Robillard. Dynamique et engagée, la femme déboulonne plusieurs mythes à l’égard de l’endroit où elle a choisi de vivre.
Le rapport à l’âge
Chantal Robillard ne craint pas de vieillir; bien au contraire! Celle qui assume chacune de ses rides assure qu’elle va célébrer son 75e anniversaire comme il se doit. Conversation avec une femme qui se dit plus sage et plus sûre d’elle en vieillissant.
Les conditions de vie en 1960
Parti de l’Allemagne avec 7$ en poche, le mari de Claire Hebel Oligny, à qui on avait promis un métier de fourreur, a dû apprendre à devenir bûcheron bien malgré lui.
La technologie
Devant commencer un nouvel emploi comme secrétaire administrative, Chantal Robillard se rappelle avoir loué son premier ordinateur dans le but de se pratiquer! Emballée face aux avancées technologiques, elle aime communiquer grâce aux nouveaux outils qui s’offrent à elle.
Partir en affaires
Ambitieux, Jean-Louis Parent a lancé son entreprise d’électricité à l’âge de 22 ans. Jeune marié et père de trois enfants en bas âge, il fallait avoir de la vision et une bonne dose de courage pour choisir de se partir en affaires.
L’évolution dans le domaine de la construction
À l’époque, il y avait l’École des métiers, mais les gens n’y allaient pas, explique Jean-Louis Parent. Avec une 9e année en poche, il a commencé comme apprenti, avant de fonder sa propre entreprise.