La varennoise Mélanie Cousineau lance un «Last call pour le bonheur»

François Laramée
La varennoise Mélanie Cousineau lance un «Last call pour le bonheur»
L'auteure Mélanie Cousineau

La varennoise Mélanie Cousineau vient de publier une œuvre qui devrait susciter beaucoup d’intérêt pour le grand public. Son « nouveau-né » « Last call pour le bonheur » s’inspire du passé mais aussi du présent et des petites et grandes tranches de vie d’une femme, Frédérike qui traverse la vie avec ses grands et petits moments.
La vie, Frédérike Daoust l’a apprise à la dure, et les blessures de son enfance ne se sont jamais cicatrisées. À 37 ans, elle a malgré tout su faire son chemin, se forgeant une épaisse carapace et empruntant différents détours pour éviter la douleur. Pendant qu’elle assiste à une soirée soulignant la retraite de son patron, Pietro, propriétaire du restaurant Dolce Paolina, un incident provoque la destruction d’une partie de sa maison, et de son quotidien calme et rangé du même coup. Ce petit drame survient quelques jours après sa rupture d’avec Thomas, alors que Frédérike choisissait de retrouver sa paix intérieure et de faire une croix sur les hommes. La voilà donc contrainte à trimballer ses valises au gré des gens qui veulent bien l’héberger durant les rénovations qui s’éternisent, l’amenant à devoir affronter plusieurs démons de son passé. À cela s’ajoutent les complications qui se succèdent au travail depuis l’arrivée d’une nouvelle gérante, ainsi que les nombreux prétendants qui se manifestent sans crier gare! L’amour, la famille et les affaires: autant de sujets épineux auxquels elle aurait préféré échapper à ce stade de sa vie. La tranquillité d’esprit est-elle toujours à portée de main, ou Frédérike ratera-t-elle ce last call pour le bonheur tant convoité? La réponse dans « Last call pour le bonheur aux Éditions Les éditeursréunis.com
Mélanie Cousineau est aussi l’auteure de la série Voyage désorganisé et de Road trip: une virée mère-fille. Dans ce feel-good à saveur romantique, elle nous prouve que la quête du bonheur ne devrait jamais être abandonnée, même si la route qui y mène est parfois escarpée.

Partager cet article