La pétition pour mettre fin aux « partys de bateaux » dans les Îles-de-Boucherville dépasse maintenant 8300 signatures

Photo de François Laramée. De l’Initiative de journalisme local
Par François Laramée. De l’Initiative de journalisme local
La pétition pour mettre fin aux « partys de bateaux » dans les Îles-de-Boucherville dépasse maintenant 8300 signatures
La cohabitation entre les bateaux à moteur et les embarcations non motorisées semble particulièrement difficile. (Photo : Diane Lapointe)

La pétition pour mettre fin aux fameux « partys de bateaux à moteur » dans le chenal Grande Rivière au cœur du parc national des Îles-de-Boucherville ne cesse d’additionner les appuis. Au moment d’écrire ces lignes, 8353 personnes s’étaient rendues sur le site Internet « change.org » pour appuyer la démarche.
Lors de la première diffusion de l’information dans le journal, il y a maintenant deux semaines, la pétition avait recueilli 3900 appuis. Au cours de la semaine qui a suivi, plusieurs médias nationaux ont aussi repris la nouvelle et le nombre de signataires a alors fait un saut à 5900. Dans sa dernière édition, La Relève diffusait cette information et depuis, une troisième vague d’appuis a fait grimper le nombre à plus de 8350, c’est aussi pourquoi l’objectif est maintenant de récolter 10 000 signatures avant de présenter la fameuse pétition au maire de Boucherville et au ministre canadien des Transports, car il faut le préciser, la navigation est de juridiction fédérale.
Il faut aussi rappeler qu’en parallèle, la Ville de Boucherville a mandaté la firme Léger pour mener une consultation sur la même problématique (boucherville.ca\securitenautique). Le sondage devrait guider la Ville dans sa recherche de solution à ce problème qui dérange non seulement les résidents qui vivent à proximité du fleuve, mais aussi les utilisateurs du parc national des Îles-de-Boucherville qui espèrent retrouver un peu de quiétude et de sécurité pour naviguer en canot, kayak ou avec de petites embarcations, dans ce parc du réseau de la Société des établissements de plein air du Québec (Sépaq).



Partager cet article