Liées par le sang : un troisième roman pour la Bouchervilloise Marie-Josée Poisson

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Par Diane Lapointe
Liées par le sang : un troisième roman pour la Bouchervilloise Marie-Josée Poisson
Après une carrière dans le domaine de la culture et des communications, notamment à titre de directrice des communications de TV5 pour les Amériques, directrice des communications de l’École supérieure de ballet du Québec et rédactrice en chef du Magazine de la Place-des-Arts, Marie-Josée Poisson se consacre désormais à l’écriture. (Photo : Monic Richard)

L’autrice bouchervilloise Marie-Josée Poisson vient tout juste de publier son troisième roman, Par-delà les mers et les siècles, de sa série Liées par le sang, dans lequel elle fait une place importante à notre ville, notamment à l’église patrimoniale Sainte-Famille. « J’ai imaginé une seigneurie de fiction: celle de La Pelleterie (famille de mon héroïne). Ce domaine est inspiré du fief du Tremblay, qui était situé entre les terres des seigneurs de Boucherville et de Longueuil », relate-t-elle.
« Quand passé et présent tissent de concert leur toile… 1760 Devenu sieur de la Pelleterie à la suite de son mariage, Charles-Guillaume- Louis Le Normant d’Étiolles s’établit sur les rives du Saint-Laurent. Mais les vents contraires de l’Histoire ont tôt fait de menacer son bonheur… Après avoir porté l’uniforme bleu de France pour défendre la colonie, il doit endosser la tunique rouge des maîtres britanniques afin de livrer bataille contre un nouvel envahisseur. Appelé à rejoindre son mentor à Boston, Charles-Guillaume se voit accusé de trahison. 2006 La Montréalaise Louise Poisson se prépare à épouser en grandes pompes Geoffroy Le Hideux, héritier de la Roche-Forest. Quelle mésalliance que celle d’une catin des colonies, issue de la lignée de Madame de Pompadour, et d’un jeune aristocrate français! La presse est aux abois. Au Québec, le fidèle généalogiste Alcide Germain poursuit son patient travail jusqu’à ce que de dramatiques éléments au sujet d’Étiolles, dit Poisson, soient mis au jour. Ébranlé, Alcide insiste auprès de sa cliente : elle doit rentrer au pays. Ce qu’il a à lui apprendre est indicible, ne peut qu’être montré… Les héros voient leur vie emportée par le temps! »
Éditeur : La Semaine. 312 pages

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