Les coups de cœur à Boucherville de Josée Boudreault et Louis-Philippe Rivard

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Par Diane Lapointe
Les coups de cœur à Boucherville de Josée Boudreault et Louis-Philippe Rivard
Le couple à la Cage aux Sports. (Photo : gracieuseté)

Vous ne le saviez peut-être pas, mais que le couple formé par Josée Boudreault et Louis-Philippe Rivard habite à Boucherville. Oui, oui, et depuis longtemps. Ces deux artistes bien connus de la radio, du petit écran et de la scène humoristique ont choisi Boucherville pour y faire leur nid. C’est ici qu’ils ont décidé de poser leurs racines, d’élever leurs enfants… et de savourer les petits bonheurs au quotidien. Ils ont pris un moment pour nous confier ce qu’ils aiment de Boucherville, ce qui les inspire… et qui fait battre leur cœur. Entre les rires, ils nous dévoilent leurs bonnes adresses.

Qu’est-ce qui vous a amenés à vous installer à Boucherville ?

«Josée vient de la région du Saguenay. Elle est arrivée à Boucherville en 1999. Elle aurait aimé vivre à Montréal mais son chum de l’époque ne voulait pas. Il trouvait la ville trop grosse, relate Louis-Philippe. «Et finalement, il avait raison, renchérit Josée. J’adore Boucherville parce que ce n’est pas loin de la ville et on est bien. C’est plus tranquille et on a tout ici.»

Lorsque Josée et Louis-Philippe ont décidé de vivre ensemble, c’est lui qui a pris pays. «Je ne trippais pas tant sur la Rive-Sud, je suis venu pour elle et finalement j’aime beaucoup», confie Louis-Philippe.

Où allez-vous pour prendre l’air?

«On demeure dans le quartier de Normandie. Il y a un parc près de la maison, le parc de Coutances. On y allait fréquemment avec les enfants lorsqu’ils étaient plus jeunes. C’était le parc préféré des filles pour aller jouer dans les jeux d’eau après le souper. C’était aussi là que Flavie, quand elle était plus petite, passait du temps avec son chien Charlie», se souvient Louis-Philippe. «On y va encore souvent pour marcher», précise Josée.

Votre quartier préféré ?

«Le Vieux-Boucherville durant l’été. C’est le fun d’aller marcher sur le bord de l’eau. Mais de Normandie, c’est super beau», reconnait Louis-Philippe.

«Une école est en construction juste à côté et même si on n’a plus de jeunes enfants qui la fréquenteront, on a hâte de voir les petits, ça va rajeunir le quartier», signale Josée. «Le soir dans notre cour, on entend les jeunes qui jouent au terrain de baseball du parc de Normandie. Il n’y a rien de plus beau que de les entendre crier ainsi que le bruit du bâton qui frappe la balle», ajoute Louis-Philippe. «Nous, ça nous arrive souvent, en allant promener le chien, de regarder la game, juste pour le plaisir de voir les petits jouer. On aime beaucoup ce côté-là dans notre coin», mentionne Josée.

Vos coups de cœur, côté commerces ?

Chocolats favoris avec les enfants, le resto Lionel, et le bistro Cervéjaria, et la Cage aux sports. «C’est sûrement le resto où on a le plus été en famille à travers les années. Les enfants aimaient le popcorn et Josée les écrans avec le hockey. C’est une grande fan des Canadiens», se souvient Louis-Philippe.

Pour magasiner, Josée aime les boutiques Entre Amies et L’Actuel.

«Mais je pense que le magasin que l’on a le plus fréquenté à Boucherville est la boutique équestre Greenhawk. Flavie, notre plus jeune qui a 14 ans, fait de l’équitation. C’est grand, c’est beau et c’est extra ce que l’on y retrouve», s’exclame Louis-Philippe.

Josée précise qu’elle fréquente au moins quatre à cinq fois par semaine depuis cinq ans le centre de conditionnement physique Orangetheory. «Là, elle s’est fait de nouvelles amies et m’a aussi entraîné à y aller», souligne Louis-Philippe.

Qu’est-ce que vous aimez un peu moins de Boucherville?

«Bien, rien, tout est beau, j’aime tout ici, je n’ai jamais pensé à ça», dit Josée.

Vos projets cet été?

«Nous allons en croisière en Grèce avec les enfants, et après, on reste à la maison. On y est bien», précise Louis-Philippe

«On va faire beaucoup de partys, moi j’aime ça», signale Josée. «Vous pouvez avertir les gens du quartier de Normandie que quand sa sœur Sylvie est à la maison, ça crie pas mal fort. Il n’y a pas d’urgence. N’appeler pas la police, on n’est pas en train de tuer des poulets!» conclut en riant (encore!) Louis-Philippe.

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