Exploit d’une ingénieure originaire de Sainte-Julie ayant dirigé une mission de la NASA: Bravo à Julie Bellerose!

communiqué
Exploit d’une ingénieure originaire de Sainte-Julie ayant dirigé une mission de la NASA: Bravo à Julie Bellerose!
Le député de Montarville et porte-parole du Bloc Québécois en matière d’affaires étrangères, M. Stéphane Bergeron, a profité d’une déclaration à la Chambre des communes, le 4 octobre dernier, pour souligner l’exploit réalisé récemment par une ingénieure originaire de Sainte-Julie, Mme Julie Bellerose, qui a dirigé avec succès une mission délicate de la NASA. (Photo : NASA)

Le député de Montarville et porte-parole du Bloc Québécois en matière d’affaires étrangères, M. Stéphane Bergeron, a profité d’une déclaration à la Chambre des communes, le 4 octobre dernier, pour souligner l’exploit réalisé récemment par une ingénieure originaire de Sainte-Julie, Mme Julie Bellerose, qui a dirigé avec succès une mission délicate de la NASA.

«Lorsque j’ai été nommé porte-parole du Bloc Québécois en matière d’affaires étrangères, j’ignorais que ça incluait le cosmos! C’est pourtant de l’espace dont je vous parle aujourd’hui, et ce, grâce à Julie Bellerose…», s’est exclamé M. Bergeron.

«La semaine dernière, a-t-il poursuivi, cette ingénieure originaire de Sainte-Julie a dirigé une mission de la NASA qui relève carrément de la science-fiction! Mme Bellerose devait faire dévier un astéroïde à 10 millions de kilomètres de la Terre en le percutant avec une sonde spatiale fonçant à 22 500 kilomètres à l’heure. C’était une expérience visant à évaluer s’il est possible d’infléchir la trajectoire d’un astéroïde dans le cas où l’un d’entre eux se dirigerait dangereusement vers notre planète.»

«Au nom du Bloc Québécois, je tiens à féliciter Julie Bellerose pour cette mission accomplie. Il s’agit d’un nouveau fait saillant d’une carrière qui l’a amenée de Sainte-Julie à la Californie, en passant par le Japon. Cet exploit l’a propulsée au sein d’un club sélect de Québécoises et de Québécois démontrant aux jeunes de chez nous jusqu’où le génie québécois peut se rendre. La réponse, c’est loin, très loin, très, très loin!», de conclure Stéphane Bergeron.

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