L’assouplissement graduel des mesures sanitaires n’entraînerait pas de recrudescence des cas et des hospitalisations

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L’assouplissement graduel des mesures sanitaires n’entraînerait pas de recrudescence des cas et des hospitalisations
Les assouplissements graduels des mesures sanitaires jusqu'au 14 mars ne devraient pas causer de recrudescence importante des cas et des hospitalisations dans le Grand Montréal, en comparaison avec le pic de janvier dernier. (Photo : Shutterstock)

Les assouplissements graduels des mesures sanitaires jusqu’au 14 mars ne devraient pas causer de recrudescence importante des cas et des hospitalisations dans le Grand Montréal, en comparaison avec le pic de janvier dernier. C’est ce que suggèrent les plus récentes projections produites par l’Institut national de santé publique du Québec et le Groupe de recherche en modélisation mathématique et en économie de la santé liée aux maladies infectieuses de l’Université Laval. Elles s’appuient sur l’estimation qu’environ une personne sur trois aurait été infectée par le SRAS CoV-2 depuis le 1er décembre 2021 dans le Grand Montréal. Les enfants et les jeunes l’auraient été davantage pendant la cinquième vague étant donné leur couverture vaccinale plus faible avec deux et trois doses et le retour à l’école en janvier. En contrepartie, les personnes de plus de 65 ans auraient été les moins infectées en raison de leur haute couverture vaccinale avec trois doses et des mesures sanitaires limitant les contacts depuis le début de l’année.

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