Palmarès du magazine MoneySense 2018: Varennes et Sainte-Julie dans le Top 100 des villes canadiennes où il fait bon vivre

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Par Daniel Bastin
Palmarès du magazine MoneySense 2018: Varennes et Sainte-Julie dans le Top 100 des villes canadiennes où il fait bon vivre
Une des forces de Varennes c’est que le revenu moyen pour un ménage est de 102 750 $ et qu’il en coûte relativement peu cher pour se loger. (Photo : Ville de Varennes)

Le plus récent palmarès du magazine MoneySense indique que Varennes, Sainte-Julie et aussi Saint-Amable sont parmi les meilleures villes au Canada pour élever des enfants en 2018, mais il faut également noter que Varennes et Sainte-Julie prennent place dans le Top 100 des villes canadiennes où il fait bon vivre.
Rappelons que la publication entièrement électronique prend entre autres en considération dans son classement des critères comme l’accessibilité à un médecin de famille et aux services de loisirs, le revenu familial, le taux de chômage et l’accès à la propriété.
Varennes occupe donc la 66e position au classement des villes où il fait bon vivre au Canada, devant notamment Saint-Basile-le-Grand, Candiac, Beloeil et même Vancouver, en Colombie-Britannique.
Une des forces de Varennes c’est que le revenu moyen pour un ménage est de 102 750 $ et qu’il en coûte relativement peu cher pour se loger puisque le prix médian pour une maison est de 331 605 $ et qu’il en coûte en moyenne 697 $ par mois pour un appartement de deux chambres à coucher. De plus, le compte de taxes est relativement bas, soit 2 854 $.
Les responsables de l’étude ont pris aussi en considération le bas taux de criminalité sur le territoire, c’est-à-dire 3,724 crimes par tranche de 100 000 habitants, et le taux de chômage qui est de seulement 4,9 %. Il est à noter en terminant que Varennes compte sur cinq bureaux de médecins pour une population de 22 000 personnes, selon les données du palmarès.
Pour sa part, Sainte-Julie occupe le 94e rang du palmarès annuel et on note tout particulièrement que l’on compte 14 bureaux de médecins pour une population de près de 30 000 personnes.
Là encore, le taux de chômage est bas, sous les 5 %, et 6,37 % de la population utilise le transport collectif pour aller travailler. Le revenu disponible pour un ménage à Sainte-Julie est quant à lui de 107 540 $, alors que la valeur d’une résidence unifamiliale est de 365 204 $, tandis qu’il en coûterait en moyenne 707 $ par mois pour louer un appartement de deux chambres à coucher.
Finalement, le compte de taxes médian à Sainte-Julie est de 3 136 $, alors que la taux de criminalité est encore plus bas que sa voisine varennoise, c’est-à-dire 2,573 crimes par tranche de 100 000 de population.

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