Léonie Curadeau galope vers le succès

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Par Diane Lapointe
Léonie Curadeau galope vers le succès
Léonie Curadeau monte un poney depuis l’âge de 6 ans

Léonie Curadeau a brillé cette année en équitation. Du bout de ses 10 ans, elle s’est classée première de la région Rive-Sud aux Jeux équestres du Québec, et quatrième au Québec, dans la catégorie initiation au poney junior.
La Julievilloise qui aura bientôt 11 ans pratique l’équitation depuis l’âge de 6 ans. « C’est une de mes meilleures amies qui m’avait invitée à faire un camp d’équitation avec elle. Je n’étais pas très à l’aise avec les animaux et j’avais un peu peur, mais j’y suis allée», raconte Léonie.
Elle a tellement aimé cette expérience qui s’est déroulée sur deux semaines que l’année suivante, elle a commencé à suivre des cours. « C’est ma tante qui avait trouvé une bonne écurie pour que j’apprenne à monter. Depuis, je m’entraîne avec Virginie Morrow.»
Léonie a pris part à ses premières compétitions en 2016. « Ça a bien été pour une première année. J’ai terminé première pour la région Rive-Sud et je me suis qualifiée pour les Jeux équestres du Québec.»
En 2017, Léonie a répété cet exploit sur la Rive-Sud et à la compétition provinciale, elle s’est classée quatrième. « Je ne m’attendais même pas à me qualifier, alors j’étais fière de moi. J’étais la plus petite du circuit », précise Léonie qui s’entraîne de deux à quatre fois par semaine.
« J’aime l’ambiance à l’écurie. Quelquefois, on travaille très fort pour apprendre les mouvements et quand on réussit, c’est vraiment gratifiant. Il y a également plusieurs jeunes filles, et je me suis fait de bonnes amies. C’est le fun quand on monte ensemble parce qu’on s’encourage.»
Léonie veut continuer l’équitation. « Je ne sais pas comment je pourrais arrêter, car j’aime vraiment ça. Ma passion pour l’équitation et les chevaux m’ont fait penser que je voudrais devenir plus tard vétérinaire pour les chevaux», dit la jeune cavalière qui fréquente l’Académie des Sacrés-Cœurs, à Saint-Bruno-de-Montarville et qui fera l’an prochain son entrée à l’École d’éducation internationale, à McMasterville.

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