En bref … de l’assemblée du conseil municipal

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Par Daniel Hart
En bref … de l’assemblée du conseil municipal

Lors de l’assemblée mensuelle du conseil municipal de septembre à Boucherville, les élus ont accordé un mandat à la firme Écogénie pour la réalisation d’une étude d’impact environnemental au sujet de l’aménagement d’une piste cyclable le long du fleuve entre le tunnel Louis-H.-LaFontaine et le Club d’aviron de Boucherville.

Ce contrat s’élève à 89 416 $.

La Ville installera cinq panneaux de limites de vitesse sur les rues Charcot, de Gascogne et Père-Le Jeune dans le but de sensibiliser les automobilistes au pied pesant à respecter les règles. Cette dépense s’élève à 21 592 $. Toutefois, la municipalité recevra une subvention gouvernementale de 16 372 $ sur cet achat du programme d’aide à l’amélioration du réseau routier municipal. Les travaux d’installation seront réalisés au cours des prochains mois.

Le conseil municipal a entériné une résolution relative à la location de la section café au centre d’art. Tel que prévu, la Boulangerie L’amour du pain s’installera dans cet espace pour offrir ses produits au public. Le montant du loyer frise les 14 000 $ par année. Le bail s’échelonne sur une période de trois ans avec option de renouvellement pour deux années supplémentaires.

En juin dernier, lors du Déjeuner du maire, des élèves de l’école de la Broquerie avaient demandé au membres du conseil municipal de les appuyer par une résolution dans leur démarche auprès des fabricants de yaourt de faire remplacer les contenants de yogourt individuels par des emballages recyclables. Or, les élus de Boucherville ont entériné une telle résolution mardi dernier. Le document sera transmis au ministère du Développement durable de même qu’à la députée de Montarville, Nathalie Roy.

Lors de la période de questions réservée au public, en début d’assemblée, un chef d’entreprise dont la compagnie est établie dans le parc industriel est venu exprimer ses doléances au sujet du remplacement du compteur d’eau de son établissement, une norme requise par la municipalité. Ce changement entraîne non seulement une dépense de l’ordre de 6000 $ à 8000 $ mais, en plus, il lui faudra acquérir un permis, ce qui ajoutera d’autres frais. «Je trouve ça anormal d’avoir à demander un permis alors que c’est la Ville qui impose ce changement de compteur d’eau», a clamé Jean-Yves Dumaine, dont l’entreprise a pignon sur rue depuis 12 ans à Boucherville.

Autre intervenant au cours de la période de questions, Claude Saint-Jarre a parlé du projet de coopérative d’habitation la Seigneurie qui sera bientôt construit. M. Saint-Jarre a indiqué qu’il souhaitait que ce projet utilise le concept «net zéro», ce qui laisse entendre que le bâtiment produise davantage d’énergie qu’il n’en consomme.

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